GLOBAL EVENTS FOR FASHION PROFESSIONALS​

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Du 6 au 8 février 2024, Première Vision propose pour la première fois un espace dédié aux stocks dormants

Première Vision Paris est le point culminant de la création de mode et des échanges business, tant pour les leaders internationaux que les jeunes porteurs de projets du secteur. Ce statut historique n’empêche pas les équipes de se réinventer, bien au contraire ! Au service d’une mode innovante et de plus en plus engagée, Première Vision élargit le champ des possibles en matière de sourcing vertueux. En parallèle d’un espace Smart dédié aux acteurs de la revalorisation métier, les exposants ont désormais la possibilité de proposer leurs propres stocks dormants sur leurs stands. Les visiteurs pourront suivre un parcours de deadstock, également disponible en ligne et sur l’application mobile. Nous entrons dans l’ère du réemploi des « belles endormies », complémentaire à l’offre de première main.

Un exercice perpétuel de réinvention au service de la création de mode

Deux fois par an depuis plusieurs décennies, Première Vision Paris guide la création de mode et perpétue les échanges business, pour les acteurs historiques comme les marques émergentes.

L’offre est bien entendu tournée majoritairement sur le sourcing de tous types de textiles et de composants, mais dans un exercice de réinvention constant s’y associe désormais un panel de services pour une création responsable.

En février 2024, nous entrons désormais dans l’ère du réemploi des « belles endormies », complémentaire à une offre de première main, via des startups dédiées mais aussi des exposants conventionnels.


À lire aussi : Qu’est-ce que la « revalorisation » des stocks de textiles et matériaux dormants et pourquoi s’y intéresser ?


Un nouveau parcours deadstock sur l’édition de février et en ligne

New deadstock offer PV Paris

L’édition parisienne présente une nouveauté : un parcours deadstock sur le salon à retrouver en ligne sur la marketplace et sur l’application mobile. Les exposants participants proposeront, directement sur leur stand, leurs stocks dormants à la disposition des acheteurs, afin de donner une seconde vie aux matières des saisons précédentes.

Les exposants « traditionnels » de Première Vision, offrant historiquement exclusivement des matières textiles et cuirs de première main, peuvent mettre à disposition des stocks invendus et être ainsi répertoriés sur de nouveaux parcours et outils de sourcing. Côté designers, il s’agit d’une nouvelle approche de la création qui peut être notamment guidée sur le salon par l’équipe internationale de Première Vision.


À lire aussi : 3 startups spécialisées dans la revalorisation des stocks de textiles dormants à découvrir sur l’édition de février 2024


De l’importance d’inclure l’ensemble des parties prenantes dans la transformation

On ne source plus les matières comme avant

Le sourcing évolue vers davantage de conscience des impacts : de l’énergie produite pour fabriquer des matières, du transport des composants, des prototypes, des collections, des problématiques de volumes de matières inutilisées et de produits finis invendus… Le contexte climatique nous appelle au bon sens et à l’économie des ressources, ce qui commence, avant même d’envisager le recyclage, par le réemploi. Les solutions de revalorisation se multiplient dans les showrooms, chez les fabricants et grâce à des pure players dédiés à cette activité.

Le positionnement de Première Vision sur ce segment de marché est un signe fort en faveur d’un changement de paradigmes et du développement de nouveaux processus de confection, comme de nouveaux modèles économiques, davantage circulaires, amenés à se pérenniser.

Deadstock on Première Vision Paris

À écouter : Smart Creation, le podcast, avec Eugénie Monroe – Recycling and Ecodesign Sales Manager chez weturn


New deadstock on Première Vision show February 2024

La transformation de l’industrie doit embarquer toutes les parties prenantes

La circularité dans la mode regroupe de multiples initiatives : seconde main, réemploi, recyclage, upcycling… Toutes sous-tendent des activités historiquement existantes mais rarement associées à des modèles économiques solides et un passage à l’échelle. « L’accès aux deadstock est une nécessité,en premier lieu pour une multitude de petites marques. Ces jeunes créateurs produisent en petites quantités et rencontrent donc des difficultés pour atteindre les volumes minimums requis par les industriels pour signer des contrats de production », reconnaît l’équipe.

Cependant, depuis quelques années, à l’aune des réglementations comme la loi Anti-Gaspillage et de l’émergence d’acteurs de l’innovation proposant des solutions industrialisables, l’ensemble du secteur se met en marche, accompagné par des acteurs comme Première Vision.

Le changement profond des habitudes de sourcing pour une création de mode doit nécessairement se faire avec l’ensemble des parties prenantes : les marques de toute envergure, dont bien sûr de luxe, mais aussi les fabricants et détaillants, ainsi que l’ensemble des maillons de la chaîne de valeurs. Seule la compréhension des enjeux et la motivation unanime conduisent le changement. « Les exposants « traditionnels » de Première Vision se sont d’abord questionnés sur le deadstock mais constatent aujourd’hui qu’il répond à une véritable demande sur le marché », explique l’équipe. Si la rentabilité suit, les collections issues du réemploi ne doivent plus faire l’objet de simples capsules ponctuelles, mais devenir partie intégrante d’une offre de routine, identifiée comme telle et valorisée pour ses vertus.


Première Vision Paris PV Hub – Hall 6︱6-8 février 2024︱Paris Nord Villepinte


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